Saviez-vous que, en pratique, le salaire net en portage salarial tourne souvent autour de 45 à 55 % du chiffre d’affaires ? Ce repère montre l’ampleur de la transformation du CA en revenus disponibles.
Nous expliquons ici l’objectif : comprendre le calcul et savoir estimer ce que vous toucherez réellement en fin de mois. Nous partons de votre TJM et de vos jours facturés, puis nous déroulons chaque déduction : frais de gestion, charges et prélèvements.
Vous gardez votre autonomie sur les missions et la tarification, tout en bénéficiant du statut salarié et d’un bulletin de paie. Nous fournissons une méthode pas à pas, des exemples chiffrés et les points de vigilance pour 2025 (CSG/CRDS, prélèvement à la source).
Une simulation rapide aide à comparer les offres. Comprendre les postes (frais professionnels, frais de gestion, charges) permet d’optimiser sans risque et de choisir la bonne société de portage salarial.
Table of Contents
Points clés
- Le net moyen se situe souvent entre 45 % et 55 % du CA.
- On part du TJM × jours facturés pour obtenir le CA.
- Frais de gestion et charges réduisent le brut puis le net.
- Les frais professionnels sont des leviers d’optimisation.
- Une simulation aide à comparer les sociétés et les offres.
- Nous détaillerons des exemples et les changements 2025.
Comprendre le portage salarial et ce que vous payez réellement
Transformer une facture en bulletin de paie implique plusieurs étapes et coûts à connaître. Le modèle fonctionne en tripartite : vous trouvez le client, la société de portage salarial facture et vous percevez un salaire.
Concrètement, la société de portage collecte votre chiffre d’affaires, déduit des frais de gestion pour le service rendu, puis applique les cotisations. Elle édite un contrat de travail et un bulletin qui matérialisent le passage du CA au salaire brut.
Pourquoi le salaire net correspond souvent à 45–55 % du chiffre d’affaires ? Les charges patronales et salariales, plus la commission de gestion, pèsent fortement sur l’assiette. Ce ratio varie selon le niveau de revenus, les options choisies et la transparence de la société portage.
« Une bonne société doit détailler frais de gestion, charges patronales et charges salariales. »
- Différence clé : le salaire brut nourrit les cotisations ; le net est ce que vous recevez avant impôt.
- Évaluez le coût vs la sécurité : ces charges financent protection sociale et droits.
Les données à réunir avant toute simulation de salaire
Avant toute simulation, rassemblez des données réelles pour éviter les surprises sur votre bulletin. Cette préparation vous protège et rend l’estimation fiable.
Définir votre taux journalier et vos jours facturés
Fixez un taux journalier moyen cohérent avec le marché et vos objectifs. Un repère courant est un tjm minimum de 300 € HT/jour. Identifiez ensuite vos jours travaillés réels, en tenant compte des congés et du temps de prospection.
Estimer le chiffre d’affaires à partir des missions
Multipliez votre taux journalier par les jours réellement facturés pour obtenir le chiffre. Basez-vous sur vos missions confirmées, pas sur un mois théorique à 22 jours.
Repérer et chiffrer les frais
Distinguez les frais de mission, refacturables au client (transport, hébergement, restauration), des frais professionnels liés à votre activité (matériel, internet). Conservez tous les justificatifs et vérifiez les règles de la société pour les plafonds et conditions.
- Les quatre briques indispensables : tjm, jours facturables, frais refacturables, frais professionnels avec justificatifs.
- Plus vos données sont précises, plus votre estimation reflètera la réalité.
Pour tester rapidement vos hypothèses, lancez une simulation de salaire et comparez les scénarios selon vos frais et vos jours.
Calcul rémunération portage salarial : la méthode étape par étape
Voici les étapes essentielles pour convertir vos honoraires mensuels en montant disponible en fin de mois. Cette méthode sert de base pour toute simulation salaire fiable.
Calculer les honoraires mensuels HT : TJM × jours facturés
Multipliez votre tjm par le nombre de jours facturés dans le mois. Le résultat constitue votre base de chiffre affaires HT.
Déduire les frais de gestion
Retirez ensuite les frais de gestion, généralement entre 5 % et 10 % du CA (repère courant : 7 %). Exigez la transparence sur ce poste.
Prendre en compte les frais professionnels
Les frais professionnels justifiés peuvent être remboursés et améliorer votre net effectif sans augmenter le salaire brut.
Appliquer charges et passer du brut au net
Déduisez les cotisations : charges patronales puis charges salariales. Le brut devient salaire net, puis on applique le prélèvement à la source pour obtenir le net à payer.
| Étape | Action | Repère | Exemple (CA 10 000 €) |
|---|---|---|---|
| 1 | Honoraires HT | TJM × jours | 10 000 € |
| 2 | Frais de gestion | 5–10 % (souvent 7 %) | -700 € |
| 3 | Frais pro remboursés | Selon justificatifs | +300 € remboursé |
| 4 | Charges & cotisations | Variables | -4 000 € ≈ |
« Une simulation doit détailler chaque poste pour rester vérifiable sur le bulletin. »
Frais de gestion : savoir comparer les sociétés de portage sans mauvaises surprises

Avant de signer, il est essentiel de décoder ce que paye votre commission. Les frais de gestion financent des services concrets : gestion administrative, facturation et recouvrement, accompagnement commercial, et parfois assistance juridique ou fiscale.
Certaines sociétés de portage affichent un taux « socle » (par exemple 7 %) puis ajoutent des options. Ces options peuvent couvrir l’ingénierie salariale à l’international, la plateforme formateur Qualiopi, le CIR ou des habilitations spécifiques.
- Ce que finance la commission : administration, déclarations, outils, assurance RC Pro et suivi client.
- Méthode de comparaison : demandez une simulation détaillée poste par poste sur la même base (CA HT, frais refacturables).
- Frais « cachés » : attention aux options imposées, frais de dossier ou services facturés séparément.
Exigez toujours une simulation claire et signez un contrat précisant les services inclus. Pour approfondir votre choix de société, consultez notre guide pratique sur trouver une société de portage.
Charges sociales, cotisations et protection : ce que finance votre bulletin de paie
Chaque prélèvement sur votre fiche de paie correspond à une garantie concrète pour vous et votre famille. Ces charges structurent un socle de sécurité proche de celui d’un salarié classique.
Les cotisations prélevées sur la base du salaire brut donnent accès à plusieurs protections essentielles.
Assurance maladie, retraite, chômage, prévoyance, mutuelle
Les postes principaux sont simples à comprendre :
- Assurance maladie : remboursements et soins.
- Retraite : droits qui s’accumulent pour votre pension future.
- Assurance chômage : filet en cas d’interruption d’activité.
- Prévoyance et mutuelle : protection en cas d’arrêt ou d’aléas de santé.
Chaque ligne de charges finance un service concret. Comprendre ce fonctionnement réduit le risque d’écarts entre vos prévisions et le bulletin.
Mises à jour légales et points 2025
En 2025, certains paramètres (dont la CSG/CRDS) peuvent évoluer. Nous vous recommandons de vérifier quelles hypothèses sociales sont intégrées dans votre simulateur.
Pour un point complet sur la sécurité et les droits en portage salarial, consultez notre guide sur sécurité sociale et droits.
« Demandez toujours la date de mise à jour des hypothèses sociales dans la simulation. »
Bien fixer son TJM pour atteindre l’objectif de salaire visé
La clé d’un revenu stable passe par un taux journalier moyen bien calibré. Le TJM est un prix par jour ; il ne faut pas le confondre avec le chiffre d’affaires, qui totalise vos facturations sur une période.
Différence entre TJM et chiffre d’affaires : éviter les confusions
Le tjm fixe ce que vous facturez chaque jour. Le chiffre d’affaires résulte de ce taux multiplié par les jours facturés.
Confondre les deux conduit souvent à un objectif de salaire irréaliste.
Intégrer congés, intermissions et charges fixes dans votre tarification
Départ : partez de votre salaire cible net ou brut. Ajoutez les charges patronales et la commission, puis répartissez le total sur le nombre réel de jours travaillés.
Anticipez congés et intermissions : tant qu’aucune mission n’est facturée, il n’y a pas de revenus. Votre TJM doit couvrir ces périodes.
Repère utile : TJM minimum souvent cité à 300 € HT/jour
Usage pratique : si votre objectif est 3 700 € brut, appliquez un multiplicateur pour charges (≈ x1,45) puis +7 % de frais fixes et divisez par ~17 jours travaillés.
Exemple rapide : 3 700 × 1,45 × 1,07 ÷ 17 ≈ 349 € HT/jour. Le repère de départ souvent cité est 300 € HT/jour, mais adaptez selon votre marché et votre rareté métier.
- Méthode : revenus cibles → charges & frais → jours réels → TJM.
- Anticipation : fixez un taux qui absorbe les périodes creuses.
- Bénéfice : un TJM bien calibré stabilise votre salaire et sécurise votre activité.
Comparer les tarifs et modèles aide à valider votre stratégie tarifaire.
Exemples chiffrés de simulation salaire portage salarial selon votre profil
Voici trois simulations concrètes pour visualiser l’effet du tjm et du nombre de jours facturés sur le salaire net. Chaque exemple suit le même fil : chiffre d’affaires, frais de gestion, charges, puis net estimé.
Consultant IT — TJM 500 €, 20 jours
Chiffre d’affaires : 10 000 € (20 × 500 €).
Frais de gestion (7 %) : 700 €.
Charges sociales et fiscales (42,91 %) : 4 291 €.
Salaire net estimé ≈ 5 009 €/mois, avant optimisation via frais professionnels.
Explication : un TJM élevé sur un volume complet de jours permet d’atteindre un net proche de la moitié du CA.
Formateur — TJM 300 €, 15 jours
Chiffre d’affaires : 4 500 € (15 × 300 €).
Frais de gestion (7 %) : 315 €.
Charges (≈ 41 %) : 1 845 €.
Revenu net estimé ≈ 2 340 €/mois. Un volume de jours plus faible réduit le net : lisser l’activité est important.
Management de transition — TJM 700 €, 20 jours
Chiffre d’affaires : 14 000 € (20 × 700 €).
Frais de gestion (7 %) : 980 €.
Charges (43,3 %) : 6 062 €.
Salaire net estimé ≈ 6 958 €/mois. Un TJM supérieur se traduit par un net plus élevé malgré des charges comparables.
- Ces chiffres sont des estimations : la réalité dépend du contrat, des frais remboursés et des paramètres internes de la société.
- Utilisez ces repères pour fixer votre TJM, comparer une offre et préparer la négociation avec le client.
Optimiser vos revenus en toute sécurité (sans gonfler artificiellement le salaire)

Augmenter votre net sans risque tient souvent à mieux structurer vos frais. Adoptez des règles strictes : lien direct avec la mission, justificatifs et validation par la société. Cette discipline protège vos droits et renforce la transparence auprès du client.
Maximiser le remboursement commence par distinguer frais de mission et frais professionnels.
Maximiser le remboursement des frais de mission et frais professionnels
Négociez au départ la prise en charge des frais de mission : transport, hébergement et restauration. Refacturez-les au client avant remboursement pour ne pas alourdir le salaire.
Pour les frais professionnels (matériel, logiciels, internet), conservez factures et plaques de justification. Vérifiez les plafonds et catégories appliqués par votre société.
Dispositifs possibles selon la société
Certaines entreprises complètent le package par des avantages : épargne salariale (PEE/PERCO), titres-restaurant, CESU ou chèques-cadeaux. Ces outils augmentent votre pouvoir d’achat sans augmenter le salaire brut.
Choisir le contrat adapté : CDI ou CDD
Le CDI est préférable si vous cherchez continuité et stabilité entre missions. Le CDD convient à une mission ponctuelle et limite les engagements.
| Objectif | Mécanisme | Avantage clé |
|---|---|---|
| Remboursement frais mission | Refacturation au client + justificatifs | Préserve le salaire net |
| Frais professionnels | Remboursement ou prise en charge par la société | Réduit les coûts réels et augmente les revenus |
| Dispositifs sociaux | PEE, titres-restaurant, CESU | Améliore le pouvoir d’achat sans charges salariales directes |
| Choix du contrat | CDI vs CDD selon continuité | Équilibre sécurité et flexibilité |
Ligne rouge : optimiser ne veut pas dire gonfler artificiellement le salaire. Respectez la nature des frais, conservez les pièces et suivez les règles de la société. Une optimisation saine est traçable et défendable en cas de contrôle.
Pour tester l’impact réel sur vos revenus, lancez une simulation de revenus adaptée à votre situation.
Règles à connaître : salaire minimum, paiement et sécurisation de la rémunération
Avant toute signature, il est essentiel de connaître les règles qui protègent votre salaire et votre statut. En tant que salarié porté, un minimum de salaire s’applique selon votre profil et se calcule en référence au plafond de la Sécurité sociale.
Salaire minimum selon le profil
Repères conventionnels : 70 % du PSS pour un profil junior, 75 % pour un senior et 85 % pour un forfait‑jour. Ces seuils garantissent un plancher de revenu.
Lecture pratique : ce minimum vous protège mais suppose un volume d’activité compatible. Calibrez votre TJM et vos jours facturés pour rester au‑dessus du seuil, surtout lors du démarrage.
Retard de paiement du client : relances et mécanismes d’avance
La société de portage prend en charge la facturation et le recouvrement : elle effectue les relances et suit le compte client.
Si votre contrat prévoit une avance, l’entreprise peut vous verser une partie du salaire même si le client tarde à payer. Les modalités dépendent du contrat et de l’analyse du compte client.
Ce que vous devez vérifier avant de signer : délais de paiement, conditions d’avance, responsabilité en cas d’impayé, et garanties de sécurité. Demandez toujours ces clauses par écrit.
Pour choisir une structure fiable et comparer les garanties, consultez notre guide pour trouver une société de portage.
Conclusion
En résumé, une méthode structurée vous permet de maîtriser votre activité et vos revenus.
En portage salarial, votre société transforme le chiffre affaires en salaire après déduction des frais de gestion et des charges. Le salaire net se situe souvent entre 45 % et 55 % du CA, selon options et frais remboursés.
Trois réflexes simples pour garder le contrôle : utilisez un simulateur avec des données réelles (TJM, jours, mois), exigez transparence sur les frais et optimisez uniquement avec justificatifs.
Le portage apporte un contrat, des cotisations et une protection (mutuelle, prévoyance, chômage). Demandez une simulation détaillée à la société portage salarial pour valider votre projet et sécuriser vos revenus.
FAQ
Comment fonctionne la conversion du chiffre d’affaires en salaire chez une société de portage ?
Une société de portage facture vos missions au client, déduit ses frais de gestion, puis paie les cotisations sociales et fiscales. Le reliquat constitue votre salaire brut, transformé ensuite en net après prélèvements. Nous vous accompagnons pour détailler chaque poste afin que vous sachiez exactement ce que vous percevez.
Quels éléments déterminent le salaire net perçu en portage ?
Le salaire net dépend du taux journalier moyen (TJM), du nombre de jours facturés, des frais professionnels refacturables, des frais de gestion appliqués par la société et des cotisations sociales. En pratique, le net représente souvent entre 45 et 55 % du chiffre d’affaires hors taxe selon la structure des frais et des options choisies.
Quels documents et données réunir avant de lancer une simulation de salaire ?
Préparez votre TJM projeté, le nombre de jours travaillés par mois, un estimé du chiffre d’affaires mensuel, la liste des frais de mission refacturables et les justificatifs de frais professionnels déductibles. Ces éléments permettent d’obtenir une simulation fiable et personnalisée.
Comment calcule-t-on les honoraires mensuels HT à partir du TJM ?
Multipliez simplement votre TJM par le nombre de jours facturés. Exemple : 500 € × 20 jours = 10 000 € HT. Ce montant sert de base pour appliquer les frais de gestion et les charges.
Que couvrent généralement les frais de gestion facturés par la société ?
Les frais de gestion couvrent l’administration de la paie, la facturation, la gestion juridique et sociale, les déclarations et l’accompagnement. Ils varient souvent entre 5 % et 10 % du CA, la moyenne se situant autour de 7 %.
Existe-t-il des frais cachés à rechercher lors du choix d’une société ?
Oui. Vérifiez les frais pour options (international, formation, gestion d’aides fiscales), les coûts d’adhésion, les commissions sur remboursement de frais ou les frais sur notes de frais. Demandez toujours une simulation détaillée et un contrat clair.
Comment optimiser le net via les frais professionnels ?
Refacturez au client les frais de mission lorsque possible et conservez les justificatifs. Les frais professionnels déductibles réduisent l’assiette des charges et améliorent votre salaire net. Nous recommandons une catégorisation rigoureuse et une communication claire avec la société de portage.
Quelles charges sociales apparaissent sur votre bulletin de paie ?
Le bulletin inclut les cotisations maladie, retraite, chômage, prévoyance et la contribution sociale généralisée (CSG/CRDS). Ces cotisations financent votre protection sociale et impactent le passage du brut au net.
Comment intégrer le prélèvement à la source dans la simulation ?
Le prélèvement à la source s’applique comme pour tout salarié : l’administration fiscal applique un taux sur votre salaire net imposable. La société de portage peut afficher le net avant et après prélèvement pour vous donner une vision complète du net à payer.
Quelle différence entre TJM et chiffre d’affaires à prendre en compte pour fixer son tarif ?
Le TJM est le prix facturé par jour ; le chiffre d’affaires est le produit du TJM par les jours facturés. Pour parvenir au salaire souhaité, intégrez les périodes sans mission, les congés, les frais fixes et les charges dans votre tarification.
Quel TJM minimal viser pour dégager un salaire confortable en portage ?
Il n’y a pas de règle absolue, mais beaucoup de professionnels citent un repère autour de 300 € HT/jour comme minimum viable. Ce seuil dépend toutefois du volume de jours facturés, des frais et du niveau de protection sociale souhaité.
Comment comparer les offres des sociétés pour éviter les surprises sur les frais ?
Demandez un comparatif chiffré incluant taux de frais de gestion, frais d’option, modalités de remboursement de frais professionnels, coûts de mission internationale et exemple de bulletin pour plusieurs profils (junior/senior). Vérifiez aussi la qualité de l’accompagnement juridique et RH.
Que prévoit la protection sociale en portage pour la retraite et la prévoyance ?
En tant que salarié porté, vous cotisez pour la retraite de base et complémentaire, la prévoyance et l’assurance maladie. Les taux évoluent, mais ces cotisations vous procurent des droits similaires à ceux d’un salarié classique.
Quels sont les points de vigilance pour les évolutions légales et fiscales en 2025 ?
Surveillez les évolutions de la CSG/CRDS, des plafonds de cotisation et des dispositifs d’exonération. Exigez que votre société mette à jour les simulations en conséquence et vous informe des impacts sur votre salaire net.
Pouvez-vous donner un exemple de simulation pour un consultant IT à 500 € HT/jour ?
Pour 20 jours facturés à 500 € HT, le CA HT est 10 000 €. Après frais de gestion (environ 7 %) puis charges sociales, le net varie selon les frais refacturés et options. Une simulation détaillée personnalisée reste nécessaire pour connaître le net exact.
Quels dispositifs peuvent augmenter votre rémunération nette sans contourner la réglementation ?
L’épargne salariale, les titres-restaurant, le remboursement de frais réels, et les dispositifs de formation sont des leviers légaux pour optimiser le net. Choisissez une société qui propose ces options et explique leur impact sur votre bulletin.
Que se passe-t-il en cas de retard de paiement d’un client ?
La société de portage peut engager des relances et, selon les contrats, proposer des avances sous conditions. Vérifiez les délais de paiement, les commissions d’avance et les protections contractuelles avant de signer.
Quels contrats sont possibles avec une société et quel impact sur la continuité de vos revenus ?
Les contrats peuvent être CDI ou CDD de portage. Le CDI offre plus de sécurité en cas d’aléas, tandis que le CDD peut s’adapter à des missions ponctuelles. Discutez des garanties de salaire et des mécanismes d’avance avec votre société de confiance.
