Vous avez ce mélange d’excitation et d’inquiétude quand vous pensez à votre avenir pro. Nous comprenons cette tension. Choisir un statut, c’est choisir un cadre de vie et de revenus.
Le modèle hybride du portage implique une société qui facture vos clients et vous reverse un salaire après déduction des charges et des frais de gestion. Cette intermédiation modifie la relation commerciale et la gestion quotidienne.
En face, le professionnel indépendant garde la maîtrise totale de la contractualisation et des échanges avec son client. La liberté est grande, mais la responsabilité administrative et la gestion des risques restent à votre charge.
Nous allons clarifier les impacts financiers (frais, charges, optimisation en société), la protection sociale et la réalité pratique : absence de mission = absence de rémunération dans certains cas. Pour une comparaison complète, consultez notre guide comparatif sur le comparatif portage salarial vs freelance.
Table of Contents
Points clés
- Modèle contractuel : intermédiation versus relation directe.
- Frais et charges : impact sur le revenu net.
- Sécurité sociale : similarités pour santé et retraite.
- Chômage : conditions et différences importantes.
- Liberté d’organisation contre simplicité administrative.
Définitions et cadre légal : portage salarial vs statut freelance
Avant de choisir, il faut d’abord poser les bases juridiques qui encadrent chaque formule professionnelle.
Portage salarial : relation tripartite et contrat
Le portage salarial est un statut hybride qui associe autonomie et protection du salariat.
Vous réalisez vos missions en indépendance, mais vous signez un contrat travail avec une société de portage. La société portage facture vos clients, encaisse et reverse un salaire après frais de gestion.
- La société portage émet devis, factures et bulletins de paie.
- Le salarié porté bénéficie de la sécurité sociale, mutuelle, prévoyance, congés et retraite.
- Conditions d’accès : rémunération minimale, prestations intellectuelles, exclusions et niveau de qualification.
Freelance “classique” : choix du statut juridique
Le terme statut freelance désigne une manière d’exercer, pas un cadre légal unique.
Vous choisissez un statut (micro, EI, SASU, EURL), vous vous immatriculez (SIRET) et vous gérez facturation, cotisations et obligations sociales selon la forme choisie.
| Aspect | Portage salarial | Statut freelance |
|---|---|---|
| Contrat | Contrat travail avec société portage | Contrat commercial direct avec les clients |
| Gestion admin | Société prend en charge devis, factures, paie | Vous assumez compta, déclarations et cotisations |
| Droits sociaux | Couverture du salariat (chômage, retraite) | Protection selon le statut choisi et options d’assurance |
| Conditions | Seuils de revenus et activités éligibles | Libre choix d’activité, obligations selon le régime |
La différence entre portage salarial et freelance : les points qui changent tout
Comprendre ce qui change réellement vous aide à choisir selon vos priorités : sécurité ou maîtrise totale du flux commercial.
Statut et lien de subordination : salarié porté vs indépendant
Le salarié porté signe un contrat avec une société qui encadre l’activité. La société peut poser des limites sur certaines missions et impose des règles administratives.
Le professionnel autonome conserve l’absence de lien de subordination. Vous négociez, signez vos contrats et gardez la maîtrise de la relation client.
Gestion des missions, TJM et négociation
Dans les deux modèles, vous prospectez et fixez votre TJM. La liberté de négociation reste forte.
Cependant, l’intermédiation en portage peut modifier le cadre commercial et les plages de tarifs acceptés par la société.
Flux de facturation et versement de la rémunération
En portage, la société facture vos clients, encaisse les honoraires puis reverse un salaire après charges et frais (commission 7‑12%).
En indépendant, vous facturez directement et gérez votre trésorerie pour lisser la rémunération entre missions.
| Point | Société de portage | Indépendant (freelance) |
|---|---|---|
| Qui facture | Société de portage | Vous |
| Encaissement | Intermédiaire collecte les honoraires | Vous encaissez directement |
| Versement | Salaire après déductions (frais 7‑12%) | Revenus nets gérés selon trésorerie |
| Risque entre missions | Pas de salaire sans mission active | Possibilité de lisser via épargne |
Choix pratique : optez selon le niveau de contrôle que vous souhaitez garder sur la relation commerciale et la gestion de vos tarifs.
Gestion administrative et contractualisation
La gestion administrative détermine souvent le temps disponible pour développer votre activité. Selon le choix de statut, vous gagnez ou perdez de l’espace mental et des heures de travail.
Facturation, déclarations et paie prises en charge
En portage salarial, la société portage gère devis, facturation, déclarations sociales et bulletins de paie.
Ce service centralisé vous permet de vous concentrer sur le cœur de votre travail. Les prestations sont facturées via des frais de gestion. Ces frais couvrent des outils, un support administratif et la sécurisation des bulletins.
Création d’entreprise et obligations pour l’indépendant
Si vous choisissez le statut indépendant, vous créez une entreprise (micro, EI, SASU, EURL) et prenez en charge la comptabilité.
La charge varie : micro‑entreprise simplifiée versus société avec comptabilité complète. Vous gérez factures, relances, déclarations fiscales et sociales.
- Avantage portage : délégation et modèles de contrat fournis.
- Avantage indépendant : contractualisation directe avec le client et maîtrise des documents juridiques.
- Solutions mixtes : recours à un expert‑comptable ou à des outils SaaS pour alléger la gestion.
| Aspect | Société de portage | Indépendant |
|---|---|---|
| Devis et factures | Émis et suivis par la société | Émis par vous |
| Déclarations sociales | Gérées par la société | À effectuer ou à déléguer |
| Paie | Bullletins et fiches de salaire fournis | Rémunération gérée selon trésorerie |
| Modèles contractuels | Contrat de travail + contrat de mission standardisés | Contrats choisis et adaptés par vous |
Coûts, frais et revenus nets : ce que vous conservez réellement

Comprendre la cascade de coûts aide à voir ce qui reste réellement sur votre compte.
Frais de gestion, cotisations et impact sur le salaire
En portage, une commission de 7‑12 % est prélevée sur le chiffre d’affaires avant application des cotisations sociales.
Après ces prélèvements, le salaire net peut descendre fortement.
Exemple pratique : sur 8 000 € de CA, 12 % de frais = 960 €.
Base restante 7 040 €, salaire brut estimé 4 812 €, net ~3 801 € avant impôt.
Freelancing en société : leviers d’optimisation
En SASU, vous pouvez déduire charges, récupérer la TVA et arbitrer rémunération/dividendes.
Sur le même CA, un net avant impôt de 5 996 € est possible, soit ~+2 195 € par rapport au portage dans l’exemple.
Frais pros et plafonnements
Les sociétés de portage limitent parfois la prise en charge des frais pros (plafonds autour de 30 % du salaire brut).
En société, la déductibilité réelle réduit le coût des achats pro.
| Élément | Portage (ex.) | SASU (exemple) |
|---|---|---|
| Commission / frais gestion | 7–12 % du CA | Frais de gestion internes, pas de commission sur CA |
| Net avant impôt (sur 8 000 € CA) | ~3 801 € | ~5 996 € |
| TVA et déductions | Récupération rare | Récupération possible, charges déductibles |
| Frais pros | Parfois plafonnés | Déductibilité réelle selon compta |
En pratique : projetez ces chiffres sur une année pour mesurer l’impact sur vos revenus et votre capacité d’investissement. Pour guider votre choix, consultez notre guide pour trouver un portage salarial.
Protection sociale, chômage et retraite
Sécurité santé, chômage et retraite : voici ce que chaque option couvre concrètement.
Couverture du salarié porté
Le salarié porté bénéficie du cadre du salariat : maladie, mutuelle collective, prévoyance et congés payés.
En cas de rupture justifiée par un lien de subordination, des droits au chômage peuvent s’appliquer.
Protection pour les indépendants
Les indépendants ont aujourd’hui une couverture santé proche du régime général. Cependant, ils ne cotisent pas automatiquement au chômage.
Depuis 2019, l’ATI existe sous conditions strictes : activité ≥ 2 ans, revenu moyen minimal, ressources limitées et inscription rapide à France Travail.
Retraite et validation des trimestres
La validation des trimestres dépend des rémunérations déclarées. En SASU ou EURL, verser un salaire permet d’acquérir des droits similaires au privé.
En micro‑entreprise ou EI, la retraite suit les règles propres aux travailleurs indépendants avec une base et une complémentaire distinctes.
« Anticipez votre parcours : le niveau de cotisations influe directement sur vos droits futurs. »
- Arbitrage : sécurité packagée avec portage salarial vs. sécurité à composer si vous êtes indépendant.
- Accès à la formation (CPF) intégré côté salarié ; dispositifs différents côté indépendant.
Autonomie, relation client et développement d’activité

Votre organisation quotidienne dépendra surtout du cadre choisi et des règles imposées par votre partenaire.
Liberté d’organisation et limites possibles
Vous gardez l’autonomie pour choisir vos horaires, lieux et méthodes de travail. Cela vaut en indépendant comme en portage salarial.
Cependant, certaines sociétés appliquent des règles : refus de missions de faible montant, interdictions sur des prestations spécifiques ou exigences contractuelles. Ces clauses peuvent ralentir votre prospection.
Relation client, négociation et gestion commerciale
En indépendant, la relation avec le client reste directe. Les cycles de décision sont souvent plus courts. Vous rédigez et signez les propositions.
En portage, la société facture et peut formaliser la relation. Avantage : conformité et sécurité. Inconvénient : marge de manœuvre réduite sur le TJM et la réactivité commerciale.
| Élément | Portage salarial | Indépendant |
|---|---|---|
| Choix des missions | Autonomie opérationnelle mais clauses possibles | Liberté totale de sélection |
| Relation clients | Intermédiée par la société | Communication directe, cycles rapides |
| Montée en puissance | Accompagnement et réseau de freelances | Indépendance pour investir en marketing |
En pratique : pesez la sécurité contractuelle face à l’agilité commerciale pour décider comment scaler votre activité.
Pour qui et dans quels cas choisir l’un ou l’autre ?
Choisir un cadre adapté dépend avant tout de votre profil, de vos objectifs financiers et du niveau de sécurité recherché. Nous détaillons ici qui peut prétendre au portage, qui gagnera à créer une société, et pourquoi.
Conditions d’éligibilité, activités et exclusions
Accès au portage : rémunération brute minimale ~2 517,13 €, activités intellectuelles, diplôme Bac+2 ou 3 ans d’expérience professionnelle.
Exclusions : professions réglementées et services à la personne rarement éligibles. Le cumul avec un emploi salarié reste possible si votre contrat n’impose pas d’exclusivité.
Profils types et cas d’usage
- Tester un projet : consultant IT qui veut valider une offre sans créer d’entreprise.
- Sécuriser un parcours : cadres en transition cherchant couverture santé et droits au chômage.
- Maximiser les revenus : freelances en société (SASU/EURL) visant récupération de TVA et optimisation des cotisations.
Le choix dépend du temps que vous pouvez consacrer à l’administratif, de votre tolérance au risque et de l’objectif : confort immédiat ou marge à long terme.
« Le bon arbitrage combine protection sociale, maîtrise fiscale et stratégie commerciale. »
Conclusion
Au final, choisir un statut revient à définir le niveau d’encadrement et d’optimisation que vous souhaitez. En freelance, vous gardez la main sur vos clients, vos contrats et vos comptes. En portage salarial, vous trouvez un cadre, des services et une sécurité plus packagée.
Points pratiques : l’écart de revenus peut être significatif — exemple : ~3 801 € net vs ~5 996 € net sur 8 000 € de CA. Pensez retraite, chômage/ATI et coûts non facturables.
Faites le point sur vos priorités : protection sociale, gestion administrative, objectifs de revenus et charge de travail non facturable. Modélisez vos comptes sur 12 mois. Le bon choix peut évoluer : démarrez avec un cadre, changez selon votre pipe commercial.
Checklist rapide : priorités, projections, protection souhaitée, appétence pour la gestion, accompagnements disponibles.
FAQ
Quelle est la différence entre portage salarial et freelance ?
Le portage salarial combine statut de salarié et autonomie commerciale : vous trouvez vos missions, la société de portage facture le client et vous verse un salaire après déduction des frais de gestion et des cotisations. Le freelance gère lui-même la facturation, la comptabilité et choisit un statut juridique (micro-entreprise, EI, SASU, EURL) avec une plus grande maîtrise fiscale et administrative mais sans les protections salariées.
Qu’entend-on par relation tripartite en portage salarial ?
La relation tripartite implique trois acteurs : le consultant, la société de portage et l’entreprise cliente. La société de portage signe le contrat commercial, émet les factures et recrute le consultant via un contrat de travail (CDI ou CDD) qui formalise la rémunération et la protection sociale.
Que signifie être salarié porté ?
Être salarié porté signifie conserver le statut salarié : affiliation à la sécurité sociale, cotisations retraite et chômage, mutuelle et prévoyance. Le salarié porté bénéficie d’un bulletin de paie et de droits sociaux tout en exerçant une activité indépendante facturée par la société de portage.
Quels statuts juridiques peut choisir un freelance classique ?
Un freelance peut opter pour la micro-entreprise (simplicité), l’entrepreneur individuel (EI), la SASU ou l’EURL (souplesse fiscale et sociale). Le choix dépend du chiffre d’affaires, du besoin en protection sociale et des objectifs d’optimisation fiscale.
En quoi le lien de subordination diffère-t-il entre ces deux modèles ?
En portage, le salarié conserve un lien contractuel avec la société de portage mais organise son travail de façon autonome auprès du client. En indépendant pur, il n’existe pas de lien de subordination : le freelance est libre dans l’organisation, sauf clauses contractuelles convenues avec le client.
Qui gère la facturation et la paie en portage ?
La société de portage prend en charge la facturation au client, les déclarations sociales et la paie. Elle calcule le salaire net après frais de gestion et cotisations. Le consultant reçoit ensuite un bulletin de paie et un virement salarial.
Quelles obligations comptables a un freelance en SASU ou EURL ?
En SASU/EURL, le dirigeant doit tenir une comptabilité complète, établir des comptes annuels, gérer la TVA le cas échéant, produire des déclarations sociales et fiscales régulières et respecter les obligations légales liées à la forme sociale choisie.
Quels sont les frais de gestion typiques en portage et leur impact ?
Les frais de gestion varient généralement entre 7 % et 12 % du chiffre d’affaires facturé. Ils réduisent la marge disponible avant cotisations et impôts, ce qui diminue le salaire net perçu par rapport au chiffre d’affaires HT facturé au client.
Un freelance peut-il optimiser ses revenus mieux qu’un salarié porté ?
Oui, en société (SASU/EURL) un indépendant peut optimiser via déduction de charges, récupération de TVA, rémunération mixte salaire/dividendes et frais professionnels. Toutefois, ces leviers demandent une gestion active et des conseils comptables pour rester conformes.
Comment comparer concrètement les revenus entre salarié porté et freelance en SASU ?
Le comparatif dépend du chiffre d’affaires, des frais de gestion, du niveau de cotisations et de la stratégie de rémunération. En portage vous avez moins de risques administratifs et une protection sociale complète ; en SASU vous pouvez conserver une part de marge plus importante après optimisation.
Que peut-on déduire comme frais professionnels en portage vs en société ?
En portage, les frais professionnels sont souvent limités et encadrés, certains frais peuvent être remboursés par la société de portage. En société (SASU/EURL) les frais réels sont déductibles du résultat, ce qui permet de réduire l’assiette fiscale et sociale de manière plus flexible.
Quelle protection sociale offre le statut de salarié porté ?
Le salarié porté bénéficie de la sécurité sociale, de la retraite de base et complémentaire, des droits au chômage en cas de cessation d’activité sous conditions, ainsi que d’une mutuelle et d’une prévoyance selon l’offre de la société de portage.
Quel est le régime de protection pour un indépendant classique ?
Un indépendant relève généralement du régime de travailleur non salarié ou assimilé selon la forme juridique. La protection peut être moins complète : retraite, maladie et allocations chômage différeront ; l’Allocation des Travailleurs Indépendants (ATI) est accessible dans certains cas de cessation d’activité.
Comment la retraite est-elle impactée selon le statut choisi ?
En portage, les cotisations salariées permettent de valider les trimestres et de cotiser pour les régimes salariés. En indépendant, la validation des trimestres et le montant des droits dépendent des revenus et des cotisations versées au régime des indépendants ou au régime général si assimilé.
Le salarié porté perd-il son autonomie commerciale ?
Non, le salarié porté reste autonome pour démarcher et négocier ses missions. La société de portage intervient sur la gestion administrative. Toutefois, certaines sociétés peuvent fixer des règles contractuelles ; il faut lire attentivement les contrats.
Quels métiers ou profils sont éligibles au portage ?
Le portage convient souvent aux consultants, formateurs, ingénieurs, experts IT, managers de transition et professions intellectuelles. Certaines activités réglementées ou de revente peuvent être exclues selon la société de portage.
Dans quels cas privilégier le portage plutôt que le statut freelance ?
Le portage s’impose si vous cherchez une transition sécurisée vers l’indépendance, souhaitez conserver la protection sociale et limiter la gestion administrative. Il convient aussi pour tester une activité sans créer immédiatement une structure juridique.
Quand vaut-il mieux créer une SASU ou rester en portage pour maximiser ses revenus ?
Si votre chiffre d’affaires augmente et que vous souhaitez optimiser fiscalement, déduire des charges ou récupérer la TVA, la création d’une SASU peut devenir intéressante. En revanche, si vous privilégiez la simplicité et la sécurité sociale, le portage reste adapté.
Quels contrats signés entre client et société de portage protègent le consultant ?
Les contrats commerciaux (mission, prestation) entre la société de portage et le client, et le contrat de travail entre la société et le consultant, encadrent la relation. Ils précisent missions, durée, rémunération, conditions de rupture et responsabilités.
Le consultant porté a-t-il droit au chômage s’il n’a plus de mission ?
Oui, si le consultant a un contrat salarié (CDI ou CDD) et a suffisamment cotisé, il peut prétendre aux allocations chômage. Les conditions restent celles de Pôle emploi : durée d’affiliation et motifs de fin de contrat.
Comment choisir entre liberté et sécurité selon mon profil ?
Évaluez votre tolérance au risque, vos besoins en protection sociale, votre capacité administrative et vos ambitions de croissance. Pour tester une activité ou conserver des droits sociaux, privilégiez le portage. Pour optimiser fiscalement et développer une structure, la création d’entreprise est préférable.
Quels services propose une société de portage en plus de la paie ?
Les sociétés de portage offrent souvent accompagnement commercial, assistance juridique, gestion des notes de frais, couverture mutuelle/prévoyance, formations et accès à un réseau de clients. Comparez les offres pour choisir celle qui correspond à vos besoins.
Quels points vérifier avant de signer avec une société de portage ?
Vérifiez les frais de gestion, les modalités de rémunération, l’offre de protection sociale (mutuelle, prévoyance), les conditions de remboursement de frais, la transparence des contrats et les avis clients. Demandez un simulateur de rémunération pour estimer votre salaire net.
